Votez et mobilisez-vous

Politique favorable à l’économie

Votez et mobilisez-vous

29 septembre 2023 agvs-upsa.ch – Tous les quatre ans, la population suisse a la possibilité de déterminer les grandes orientations politiques lors des élections nationales. C’est pourquoi l’UPSA a à cœur de mobiliser le plus grand nombre possible d’électeurs pour que le Parlement soit à nouveau plus favorable aux ­entreprises lors de la prochaine législature. 

wahlen_2023_920px.jpg
Des associations économiques ­s’organisent pour la campagne électorale devant le Palais fédéral. Photo : Perspective Suisse

Les élections de cet automne peuvent avoir une influence considérable sur l’environnement économique. Les entreprises sont fortement dépendantes des conditions politiques, que ce soit en matière de fiscalité, de réglementation ou de politique commerciale. L’élection de représentants politiques qui soutiennent un agenda favorable aux entreprises peut avoir un impact positif sur l’activité commerciale. Le transport individuel motorisé a une importance centrale pour la prospérité en Suisse et restera pertinent pour la mobilité à l’avenir. Pour que ce moteur économique ne s’enraye pas lors des débats sur la politique des transports au sein des Chambres fédérales, il faut justement une représentation adéquate au Conseil national et au Conseil des États.

Parmi les dossiers politiques importants qui seront traités au cours de la prochaine législature figure la consultation sur la nouvelle loi sur le CO2. Parallèlement, l’UPSA s’engage résolument pour que certaines technologies de propulsion ne soient pas encouragées et soutenues unilatéralement. Le programme d’aménagement des routes nationales ainsi que la garantie du financement de l’infrastructure routière sont tout aussi importants pour l’association.

L’UPSA a dressé dans les pages suivantes une liste de candidates et de candidats qui s’engagent en faveur d’une politique objective et ouverte à la technologie, et surtout favorable à l’économie. Le dernier baromètre électoral de la SSR en juin montre des tendances selon lesquelles la population suisse se détourne de l’alliance rouge-vert, bien que le changement climatique soit considéré comme le plus grand défi. Les pronostics annoncent un net recul des Verts. Les primes d’assurance-maladie et l’immigration préoccupent également les Suisses, tandis que le débat sur l’égalité des sexes est perçu par une majorité comme une grande source d’irritation.

Comme les baromètres de la SSR ne sont que des hypothèses basées sur des sondages actuels, les pronostics doivent être considérés avec prudence. Le résultat effectif des élections ne sera déterminé que le 22 octobre 2023, lorsque les bulletins de vote insérés seront dépouillés. C’est pourquoi il est important de mobiliser ses amis, ses connaissances et sa famille. Seuls ceux qui votent ont une voix, et chaque voix compte lors des prochaines élections.

Vous trouverez ici d’autres parlementaires ­favorables aux PME :
certifie-pme.ch

Thierry Burkart (PLR) – Conseil des États

« Le développement technologique dans le domaine de la mobilité fait partie des acquis les plus importants de l’humanité et constitue la base de la liberté et de la prospérité. Pourtant, le sujet reste très controversé en politique, notamment en ce qui concerne le volume du trafic : le trafic de loisirs et professionnel ainsi que le transport de marchandises et de biens augmentent rapidement, tout comme les exigences des clients en matière de délais de livraison et de flexibilité. En fin de compte, il faut un concept global : qu’il s’agisse de la route ou du rail, de la voiture, de l’autocar ou du camion, du bateau ou de l’avion ou encore du vélo et de la locomotion douce, une mobilité qui fonctionne ne peut se faire qu’en interaction. »


Benjamin Giezendanner (UDC) – Conseil national

« L’infrastructure de transport ne peut pas suivre la croissance rapide de la population et les besoins croissants en matière de mobilité, et de nombreuses heures d’embouteillage sont enregistrées chaque jour en de nombreux endroits du canton. Afin que la place économique reste attractive pour les entreprises existantes et les nouveaux arrivants, l’infrastructure doit continuer à être développée. Il convient de mentionner en particulier l’élargissement à six voies de l’A1, afin que le trafic ne cherche pas à se frayer un chemin à travers les villages et les agglomérations. En outre, les agglomérations doivent être libérées des goulets d’étranglement par des routes de contournement. »

 

Stefanie Heimgartner (UDC) – Conseil national

« Je m’engage pour un financement équitable des transports. Les goulets d’étranglement, les embouteillages et les chicanes doivent enfin être éliminés. L’économie et la société sont tributaires d’un réseau de transport fiable. Il est urgent de rénover et d’étendre le réseau routier. Je me suis fortement engagée contre la loi sur le CO2, inutile et coûteuse, et je suis contre les interdictions et pour plus d’incitations. L’automobiliste n’est pas une vache à lait de la nation que l’on peut charger avec toujours plus de taxes et de redevances. Les zones à 30 km/h entraînent des pertes de temps coûteuses et doivent absolument être évitées. »


 

Adrian Schoop (PLR) – Conseil national (nouveau)

« La branche automobile est indispensable à notre économie. C’est la raison pour laquelle je m’engage contre la politique d’interdiction et d’imposition menée par les rouges et les verts. Je me bats contre la folie bureaucratique qui s’abat de plus en plus sur les entreprises. Je suis conscient que les emplois sont le fondement de notre prospérité. Je refuse les interventions inutiles de l’État. Il est à nouveau temps que nous parlions en Suisse de valeur ajoutée et pas seulement de bêtises idéologiques. »




 

Daniela Schneeberger (PLR) – Conseil national

« Électrification, hydrogène, transmissions alternatives : la branche automobile a rarement été aussi sollicitée qu’aujourd’hui. Je suis fière de ce secteur formidable, qui maîtrise ces changements avec un esprit entreprenant. »







 

Sandra Sollberger (UDC) – Conseil national

« Une politique des transports raisonnable reconnaît l’importance de la mobilité individuelle. Les routes et les voitures resteront dans tous les cas la forme de transport dominante. Nous ne devons pas fermer les yeux sur cette réalité en politique. Je m’engage pour un financement honnête de l’infrastructure routière. La branche automobile a besoin de conditions-cadres libérales et non d’un encadrement par l’État. »




 

Beat Bösiger (UDC) – Conseil national (nouveau)

« La mobilité est aujourd’hui sans limite et indispensable, tant sur le plan professionnel que privé. Même en période de changement climatique, la voiture reste notre principal moyen de transport. Nous devons donc mettre à disposition l’infrastructure correspondante ainsi qu’adapter et développer le réseau routier, dont la majeure partie est encore fondée sur les besoins des années 1970. Les périodes de congestion doivent être évitées. Les projets de transport judicieux doivent être mis en œuvre avec une perte minimale de terres cultivables. »



 

Lars Guggisberg (UDC) – Conseil national

« En tant que directeur des PME bernoises et membre du comité de la section bernoise de l’ASTAG, je sais à quel point une infrastructure de transport fonctionnelle est importante pour la place économique suisse. La route y joue un rôle clé absolu – 40000 heures d’embouteillage (2022) sont intolérables du point de vue de l’économie nationale et de l’environnement ! C’est pourquoi je m’engage de toutes mes forces au Conseil national pour que l’infrastructure routière soit développée dans notre pays - afin que les heures d’embouteillage appartiennent au passé. »



 

Erich Hess (UDC) – Conseil national

« La route est le principal mode de transport en Suisse. Les goulets d’étranglement coûtent chaque année des milliards et doivent enfin être supprimés ! Le Conseil fédéral soutient mon intervention en faveur d’une extension ciblée de l’autoroute à six voies sur les tronçons de l’A1 qui sont désormais chroniquement engorgés. Les fonds disponibles à cet effet sont déjà suffisants aujourd’hui. Je rejette donc clairement les nouvelles taxes routières telles que le mobility pricing, qui seront de toute façon détournées de leur objectif. L’automobiliste n’est pas une vache à lait ! »



 

Werner Salzmann (UDC) – Conseil des États

« La branche automobile doit répondre à des besoins toujours plus nombreux et elle le fait de manière exemplaire. Les véhicules sont de plus en plus respectueux de l’environnement. Malgré cela, il y a encore des gens qui se collent sur la chaussée et bloquent le trafic pendulaire. Or, il faut des voitures et suffisamment de professionnels qui s’y connaissent. C’est pourquoi, en tant que conseiller aux États, je tiens à un bon apprentissage professionnel et à de bonnes conditions-cadres pour nos garages. En outre, nous avons besoin de suffisamment de routes pour que les gens puissent travailler au lieu d’être bloqués dans les embouteillages. »



 

Nadja Umbricht Pieren (UDC) – Conseil national

« Le TIM paiera-t-il à l’avenir une taxe sur la mobilité ? Le trafic sera-t-il banni des villes rouges et vertes ? Ou sera-t-il massivement grevé financièrement par des taxes au moyen d’une tarification routière ? Comment sortir des énergies fossiles ? La politique prendra des décisions sur de telles questions. Si vous souhaitez vous déplacer en voiture sur les routes à l’avenir, vous devez élire au Parlement fédéral, le 22 octobre 2023, des personnes qui s’engagent sans réserve en faveur du TIM. Je vous remercie chaleureusement de vos votes. »



 

Christian Wasserfallen (PLR) – Conseil national

« L’industrie et les PME en particulier ne doivent pas être accablées par toujours plus de lois inutiles. Nous voulons tous travailler et non pas remplir des formulaires. La formation professionnelle est la clé pour augmenter le nombre de professionnels dans la branche automobile. Merci à toutes les entreprises qui forment des personnes en formation, c’est très important. Qu’il s’agisse d’une voiture électrique ou d’une voiture à cylindrée variable, le plaisir de conduire nous unit tous. »




 

Johanna Gapany (PLR) – Conseil des États

« Les changements sont constants. Ils touchent votre domaine, le monde de l’automobile et c’est à nous, responsables politiques, de prendre des décisions qui vous permettent de faire votre travail. Je m’engage avec conviction pour accompagner ces changements, sans vous limiter. Pour garantir la neutralité technologique de l’État. Pour vous donner les moyens de relever ces défis, de répondre aux attentes des clients. Le tout sans interdits et en préservant la liberté de choix des citoyennes et citoyens. »




 

Nadine Gobet (PLR) – Conseil national

« Le rail contre la route, le train contre la voiture… Aujourd’hui, ce clivage est dépassé. La mobilité doit être pensée de manière globale et complémentaire. Et dans le grand puzzle de l’intermodalité, la voiture est une pièce indispensable. En fonction des régions où l’on habite, il est en effet très difficile, voire impossible, de se déplacer sans voiture. Il faut aussi saluer, et encourager, les efforts réalisés par la branche automobile en matière de durabilité. Une filière qui, rappelons-le, joue un rôle important dans l’économie suisse avec de nombreux emplois et places de formation. En tant que directrice de la Fédération Patronale et Economique, j’y suis particulièrement sensible. »

 

Pierre-André Page (UDC) – Conseil national

« Les crises de la pandémie et de l’énergie impactent le monde automobile, que je défends, comme le montrent mes interventions pour faire baisser le prix de l’essence au plus fort de la pandémie de COVID-19 et mon engagement continu contre le tout électrique : conservons des moteurs thermiques afin de pouvoir utiliser les biocarburants ou carburants synthétiques. Notre économie et nos consommateurs ont besoin d’une offre diversifiée, c’est une question de survie et de maîtrise des coûts. Avec vous, je poursuivrai cette route ! »



 

Céline Amaudruz (UDC) – Conseil national

« Par souci du politiquement correct, rares sont les élus à Berne qui s’engage pour respecter la liberté du mode de transport et défendre les professionnels de l’automobile. Mais ce n’est pas mon cas et c’est pourquoi je me tiens fermement aux côtés de l’UPSA. Les défis de la mobilité routière seront nombreux ces prochaines années. Je pense en particulier aux infrastructures autoroutières dans toute la Suisse et, en tant que romande, notamment entre Genève et Lausanne. Il est important de combattre et dénoncer toutes les tentatives de restreindre la commercialisation de véhicules en Suisse. Merci de votre soutien le 22 octobre ! »


 

Vincent Maitre (Le Centre) – Conseil national

« Membre du Conseil de fondation du Geneva International Motorshow (GIMS) depuis près de dix ans, je m’engage résolument en faveur du secteur automobile et des dizaines de milliers d’emplois et de places d’apprentissage qu’il représente en Suisse. À Berne, je continuerai à soutenir le développement des infrastructures routières dans notre pays et à défendre les intérêts d’un secteur essentiel à notre place économique. »





 

Martin Schmid (PLR) – Conseil des États

« Dans une société moderne, il est impossible d’imaginer une société sans voitures. La mobilité est pour nous tous un élément central de la vie. Dans un canton montagneux comme les Grisons, seule la voiture permet de se déplacer rapidement et efficacement d’un endroit à l’autre. L’industrie automobile contribue largement à la prospérité de l’économie. Cela doit rester ainsi à l’avenir. C’est pourquoi je m’engagerai volontiers en ce sens au cours de la prochaine législature au Conseil des États. »




 

Franz Grüter (UDC) – Conseil national

« Fort d’une expérience professionnelle profondément ancrée dans la branche automobile suisse, je m’engage avec passion pour ce secteur en tant que conseiller national. La branche automobile suisse est importante sur le plan économique. Elle crée des emplois et de la richesse. La branche contribue à assurer notre propre mobilité au quotidien. Je comprends les besoins et les défis de première main et je m’engage en tant que conseiller national pour la branche automobile suisse à l’avenir également. »



 

Peter Schilliger (PLR) – Conseil national

« En tant que président de la section Waldstätte du TCS et membre du CA du TCS Suisse, je m’engage intensément en faveur de la branche automobile, notamment pour garantir la mobilité sur les routes. Car si le trafic est étouffé, nous étouffons en même temps le moteur de l’économie dans son ensemble, ce qui a des répercussions directes sur notre prospérité. C’est pourquoi je m’engage pour une mobilité efficace. Cela implique des investissements dans des systèmes de transport intelligents et le développement de nos routes nationales. »



 

Philippe Bauer (PLR) – Conseil national

« Comme beaucoup de branches économiques, celle de l’automobile est composée d’entreprises de grandeurs différentes et de genres différents. Elles ont toutefois un dénominateur commun. Il s’agit d’un secteur économique important, composé de PME qui, comme toutes les PME, doivent être en permanence défendues contre les fondamentalistes de tout poil qui veulent les affaiblir et les administrations qui s’évertuent à complexifier le système et à inventer de nouvelles charges. Si je suis réélu, je m’engage dès lors à poursuivre mon combat pour la liberté d’entreprendre et de créer des richesses utiles au bien commun. »


 

Damien Cottier (PLR) – Conseil national

« La mobilité de demain doit se baser sur une bonne complémentarité des offres entre transports publics et transport individuel. Flexibilité, complémentarité et durabilité seront les clés du succès. La mobilité automobile est une partie essentielle de cette configuration. Elle permet en particulier de bien connecter les régions décentralisées aux centres urbains du pays. »





 

Hans Wicki (PLR) – Conseil des États

« Le besoin de mobilité a énormément augmenté par le passé et revêt une grande importance pour notre société comme pour notre économie. Je suis convaincu que nous devons gérer activement cette évolution en identifiant à temps les problèmes liés au transport et en les résolvant de manière cohérente et durable. Ce faisant, nous devons toutefois tenir compte des besoins régionaux. Dans les régions de montagne et les régions périphériques, ceux-ci se présentent de manière totalement différente qu’en ville. »



 

Hannes Germann (UDC) – Conseil des États

« Pour beaucoup, la voiture est synonyme de liberté et d’indépendance, une sorte de deuxième maison. Elle permet une mobilité à la carte, c’est-à-dire de se déplacer de A à B à n’importe quel moment. C’est pourquoi les prestations fournies par les garagistes sont si importantes. Leur travail sert à la fois leur propre sécurité et celle des autres usagers de la route. Composée majoritairement de PME, la branche automobile forme des jeunes qui deviendront des spécialistes. Il faut donc prendre soin des deux. »




 

Thomas Hurter (UDC) – Conseil national

« Il convient de viser une transparence des coûts aussi élevée que possible. Pas de subventions croisées supplémentaires. Pas de charge unilatérale pour la route et donc pas de road pricing. Autoriser différentes formes de mobilité et ne pas privilégier un mode de propulsion particulier. Le deuxième tunnel de Fäsenstaub doit être mis en œuvre. L’autoroute Andelfingen-Winterthur doit être aménagée à quatre voies. Les tronçons Thayngen-Schaffhouse et Eglisau-Bülach doivent être améliorés. Le contournement d’Eglisau doit être accéléré. »



 

Roman Bürgi (UDC) – Conseil national (nouveau)

« La branche automobile est un secteur indispensable de l’économie suisse et doit être renforcé sans condition. En tant que conseiller national à Berne, je lutterai activement contre la pénurie de main-d’œuvre qualifiée dans les métiers techniques en renforçant la promotion de l’apprentissage, tout en veillant à ce que les échanges de la branche automobile avec la politique et l’administration nationales se poursuivent sur un pied d’égalité. »




 

Petra Gössi (PLR) – Conseil national

« Nous voulons et devons tous pouvoir choisir le moyen de transport le plus approprié. Il est donc insensé de privilégier un moyen de transport à un autre et de ne plus investir dans le développement nécessaire de l’infrastructure automobile pour des raisons idéologiques. Une Suisse en pleine croissance a besoin d’un développement de toutes les voies de communication adapté à la demande pour pouvoir avancer sans embouteillages et assurer notre prospérité économique. Lorsqu’il s’agit de décarboniser le trafic routier, nous ne devons exclure aucune technologie, mais être ouverts aux différentes techniques de propulsion. »


 

Heinz Theiler (PLR) – Conseil national (nouveau)

« En tant que maître-carrossier et propriétaire de la deuxième génération de la Carrosserie Theiler, je connais le secteur des garages et de la branche automobile depuis mon plus jeune âge. Et en tant que président de l’Union cantonale des arts et métiers de Schwytz, j’ai un aperçu de la salle des machines de nos PME : leurs requêtes et leurs idées arrivent directement sur ma table. Il en ressort clairement que si les artisans passent plus de temps à remplir des papiers qu’à exercer leur métier, c’est que quelque chose ne va pas. Supprimer la bureaucratie – maintenant ! »



 

Christian Imark (UDC) – Conseil national

« Les transports sont le moteur de l’économie et de notre qualité de vie. Nous avons un grand besoin de rattrapage pour développer nos modes de transport, tant dans les centres que dans les régions, de manière analogue à la croissance de la population et de l’économie. En outre, il est très important que l’approvisionnement en énergie soit sûr et abordable. Telles sont les principales préoccupations dans le cadre de mon activité politique. »




 

Roland Rino Büchel (UDC) – Conseil national

« Notre famille dirige depuis 60 ans un garage automobile de taille moyenne avec deux représentations de marques. Nous sommes ainsi l’un des près de 20000 établissements de l’économie automobile suisse. Mais ce n’est pas la seule raison pour laquelle je m’engage de toutes mes forces contre la réglementation excessive de l’économie et de la branche automobile en particulier. Les garagistes sont les entrepreneurs qui, plus que d’autres, doivent lutter contre la prolifération incessante de l’état. »



 

Mike Egger (UDC) – Conseil national

« La Suisse est un fournisseur important de l’industrie automobile. Environ 35000 personnes travaillent dans plus de 600 entreprises hautement innovantes. Cette branche industrielle joue également un rôle central en matière de places de formation : le fonds de formation propre à la branche est alimenté par quelque 7500 entreprises. Nous devons prendre soin de ce secteur économique. Je m’engage au sein du Conseil national pour que les conditions-cadres soient aménagées de manière à ce que la branche automobile puisse continuer à prospérer à l’avenir. »



 

Marco Chiesa (UDC) – Conseil des États

« Ces dernières années, les attaques contre l’industrie automobile se sont multipliées. Dans le cadre d’une idéologie à œillères, les améliorations considérables apportées par la branche à la mobilité privée sont occultées et l’importance de la voiture pour notre économie et nos emplois n’est pas reconnue. Cette prise de conscience fait traditionnellement partie de l’ADN de l’UDC. Mon parti et moi-même nous engageons en faveur des personnes qui, par leur travail, font tourner le pays. »




 

Piero Marchesi (UDC) – Conseil national

« Le secteur automobile est mis à mal par la vague écologique extrême qui, au lieu de faciliter la transition vers de nouvelles technologies – électrique, hydrogène, etc. – interdit, alourdit, taxe et rend instable le secteur. Je m’engage à stopper cette dangereuse dérive, à soutenir les entreprises en Suisse afin de préserver les activités et les emplois actuels, et à œuvrer pour un développement sain et rentable. »





 

Fabio Regazzi (Le Centre) – Conseil national

« La voiture est synonyme de liberté, mais c’est aussi un moyen de transport indispensable, notamment pour les régions périphériques. Le marché du travail et le tourisme dépendent également de l’industrie automobile. Mon objectif à Berne est de continuer à m’engager pour une politique des transports cohérente et complémentaire, qui ne discrimine aucun moyen de transport par rapport à un autre et qui promeut une mobilité motorisée moderne, non bureaucratique et ouverte à de nouvelles solutions ! »




 

Hansjörg Brunner (PLR) – Conseil national (nouveau)

« Près de 200000 heures de retard s’accumulent chaque jour sur les routes suisses parce que les voitures et les camions sont bloqués dans des bouchons ou n’avancent que lentement. Cela entraîne des coûts de plus de trois milliards de francs. C’est pourquoi je m’engage depuis des années dans mon canton pour la réalisation des axes BTS et OLS et pour le développement du site de Wil West avec un nouveau raccordement autoroutier. »




 

Diana Gutjahr (UDC) – Conseil national

« En tant que copropriétaire d’une PME familiale, une entreprise de construction métallique et d’acier, je connais de première main les exigences liées au bon fonctionnement de l’infrastructure routière. Cela permet de garantir que les personnes et les marchandises se trouvent au bon endroit au bon moment. Le transport individuel est donc le moteur de notre économie. C’est pourquoi je m’engage notamment au niveau fédéral contre l’introduction de zones 30 et demande une ouverture technologique pour la décarbonisation du trafic routier. »



 

Jakob Stark (UDC) – Conseil des États

« Les besoins en électricité augmenteront fortement si les secteurs du transport et du bâtiment réduisent leurs émissions de CO2. Parallèlement, l’énergie nucléaire, soit un bon tiers de la production d’électricité, disparaîtra à moyen terme. L’Office fédéral de la protection de la population illustre de manière impressionnante l’importance cruciale de l’électricité : il considère une éventuelle pénurie d’électricité comme le risque le plus important. »




 

Pascal Broulis (PLR) – Conseil national (nouveau)

« Je rappelle que la branche automobile est un important rouage économique au niveau Suisse. La branche forme en outre un nombre important d’apprentis. Il est également primordial de laisser la liberté à tout en chacun de choisir son mode de déplacement, soit collectif soit individuel. »






 

Michaël Buffat (UDC) – Conseil national

« Plus de 180000 : c’est le nombre net de personnes qui sont arrivées dans notre pays en 2022. En une année, nous avons accueilli autant d’immigrés que le canton de Neuchâtel compte d’habitants. Cette immigration, due en partie à la libre circulation des personnes et en partie à notre droit d’asile, a des effets catastrophiques. »






 

Jacqueline de Quattro (PLR) – Conseil national

« Comme conseillère d’État vaudoise en charge du Service des automobiles, j’ai travaillé étroitement avec la branche. Je poursuis cette collaboration au Conseil national. Le financement des infrastructures routières est une de mes priorités. Je me suis ainsi engagée en faveur des 8,8 milliards pour l’entretien des routes nationales et des 5,3 milliards pour les aménagements. Pour préparer la mobilité de demain, nous devons favoriser la multimodalité et arrêter d’opposer les différents modes de transport, car la mobilité est le moteur de notre économie et de notre prospérité. »


 

Olivier Feller (PLR) – Conseil national

« Mes lignes d’action, notamment à la Commission des transports du Conseil national, suivent trois principes :
1. Un développement équilibré de nos infrastructures routières et ferroviaires, adapté aux besoins de la population et des entreprises dans toutes les régions du pays.
2. Une gestion des problèmes fondée sur l’incitation et l’innovation plutôt que sur les interdits et les contraintes.
3. La défense du garagiste en tant qu’acteur central de la mobilité et garant de la sécurité routière. »


 

Jacques Nicolet (UDC) – Conseil national

« Venant d’une région peu desservie en transports publics, je parcours près de 40000 km par année sur nos routes, tant pour mon métier d’agriculteur que pour mes activités politiques ou privées. Pour moi, il est crucial d’avoir un réseau routier de qualité, permettant une mobilité routière dans toutes les régions du pays. Je soutiens la branche automobile, qui génère de nombreux emplois, offre des véhicules répondant aux normes les plus strictes et assure l’entretien du parc automobile suisse. »




 

Laurent Wehrli (PLR) – Conseil national

« Dans ma fonction de conseiller national, je soutiens depuis toujours la mobilité, qui est indispensable pour l’économie, le tourisme et la vie de tout un chacun. Cette mobilité doit être assurée pour les voitures, en complémentarité des transports en commun. J’ai voté et je voterai donc pour des infrastructures modernisées et adaptées aux besoins ainsi que pour des conditions-cadres favorables à la branche automobile suisse, qui est essentielle pour l’économie suisse et la vie dans notre pays. »




 

Jean-Luc Addor (UDC) – Conseil national

« La mobilité individuelle, c’est la liberté. En Valais et partout ailleurs que dans les grandes villes, c’est même une nécessité, pour le travail comme pour les loisirs. La gauche et les verts ne s’en cachent pas : ils veulent limiter la mobilité individuelle, et donc notre liberté. C’est un vrai enjeu de société, avec en son centre la branche automobile, qui nous donne les moyens de jouir de cette liberté. Voilà pourquoi je continuerai à défendre cette branche essentielle de notre économie. »




 

Philipp Matthias Bregy (Le Centre) – Conseil national

« L’interdiction de la publicité pour les voitures n’était qu’une des nombreuses propositions absurdes débattues par le Parlement au cours de la dernière législature. L’idée est simple : il s’agit de rendre le transport individuel moins attractif et donc de le limiter. Une telle politique se ferait directement au détriment de la branche automobile et doit être évitée, y compris pour les quatre années à venir. En outre, cette idée montre clairement où il faut appuyer sur l’accélérateur politique : dans la réduction de la bureaucratie. Bonne route ! »




 

Sidney Kamerzin (Le Centre) – Conseil national

« Dans les régions alpines, l’offre des transports publics est souvent insuffisante alors que les territoires sont vastes. L’utilisation de véhicules privés est dès lors indispensable et permet aux particuliers et aux familles de définir leur lieu et mode de vie : en montagne, sur les coteaux ou encore dans une vallée. Je soutiens donc les moyens alloués au développement et à l’entretien de nos routes. Je soutiens également une baisse des taxes sur l’essence en cas de circonstances particulières (inflation, hausse des prix de l’énergie, etc.). »



 

Philippe Nantermod (PLR) – Conseil national

« Berne doit assurer des infrastructures performantes pour la mobilité individuelle. Le réseau routier est vétuste et sous-dimensionné. Je suis effaré de constater au quotidien combien on préfère les rustines aux travaux durables et qualitatifs. Par ailleurs, la troisième voie autoroutière doit devenir la norme pour réduire les embouteillages. Enfin, la transition vers la mobilité électrique doit être soutenue par un vrai programme d’investissement dans un réseau de bornes et une législation favorable à leur installation dans le domaine privé. »



 

Benjamin Roduit (Le Centre) – Conseil national

« Je m’engage au Parlement pour faciliter la mobilité sous toutes ses formes, sans opposer un moyen de transport à un autre. Dans ce sens, il convient de favoriser le transport routier en améliorant les infrastructures et d’éviter une réglementation devenue trop excessive. Il s’agit de trouver un équilibre entre nécessité économique et environnemenatale. Enfin, issu d’une région périphérique de montagne, j’estime que le soutien à la branche automobile est une question de cohésion nationale. »




 

Thomas Aeschi (UDC) – Conseil national

« La mobilité individuelle me tient particulièrement à cœur. C’est pourquoi je m’engage pour l’extension et l’entretien adéquat du réseau routier. Parallèlement, je plaide pour une baisse de l’impôt sur les huiles minérales et de la surtaxe sur les huiles minérales ainsi que pour la suppression des taxes d’importation, qui renchérissent la mobilité individuelle. Je rejette catégoriquement l’introduction d’un péage routier, car il renchérirait unilatéralement la mobilité individuelle par rapport aux transports publics. »




 

Ueli Bamert (UDC) – Conseil national (nouveau)

« Réduction des places de stationnement, zones 30 généralisées ou menace d’interdiction du moteur à combustion : sous couvert de protection du climat, le trafic automobile est de plus en plus la cible de nouvelles lois néfastes et l’automobiliste est désigné comme le bouc émissaire de la nation. La branche automobile est elle aussi de plus en plus sous pression, que ce soit par une bureaucratie excessive ou par des prescriptions de plus en plus strictes en matière de CO2 ou de normes antipollution. Je m’opposerai avec force à cette politique hostile à la voiture au sein du conseil national ! »


 

Hans-Ulrich Bigler (UDC) – Conseil national (nouveau)

« Des entreprises florissantes sont un gage de sécurité et de stabilité : elles permettent de créer de nouveaux emplois et de nouvelles places d’apprentissage, de garantir les assurances sociales et de renforcer notre compétitivité par rapport à l’étranger. C’est pourquoi je me bats pour une branche automobile forte. Il faut une infrastructure routière qui fonctionne, une réduction des heures d’embouteillage et une croissance de la mobilité sans mesures fiscales d’incitation et d’interdiction. »




 

Gregor Rutz (UDC) – Conseil national

« La mobilité est le moteur de notre économie. Le trafic individuel motorisé est essentiel pour nos entreprises commerciales. En conséquence, la branche automobile fait partie des piliers de notre économie. En tant qu’artisan, entrepreneur indépendant et membre de la commission des transports, je m’engage pour l’extension et l’entretien de notre réseau routier. La garantie des conditions-cadres optimales pour la branche automobile est pour moi une évidence. »




 

Andri Silberschmidt (PLR) – Conseil national

« Je m’engage pour une Suisse dans laquelle les infrastructures de transport sont développées afin que les besoins croissants en mobilité de la population soient pris au sérieux. Le renforcement de l’esprit d’entreprise me tient également à cœur. L’entrepreneuriat est la base de notre prospérité. Grâce à votre voix, je pourrai continuer à défendre ces deux thèmes au Conseil national. »





 

Mauro Tuena (UDC) – Conseil national

« Avec ses nombreux exploitants, la branche automobile compte parmi les piliers de notre économie nationale. En conséquence, cette branche mérite tout le soutien et l’attention de la politique. Bien entendu, cela implique un réseau routier qui fonctionne bien et qui doit être doté de tous les moyens financiers nécessaires. L’entretien et l’extension du réseau routier en font partie. C’est la tâche de la politique, pour laquelle je m’engage avec succès depuis huit ans. »




 

Bruno Walliser (UDC) – Conseil national

« L’UPSA, qui emploie 39000 personnes, est un employeur important dans notre pays. En tant qu’artisan, je veux continuer à m’engager au Conseil national pour des conditions-cadres favorables et orientées vers l’avenir, qui n’entravent pas le travail de la branche automobile, mais le favorisent. Je continuerai à m’engager au Parlement pour la réduction des coûts de la réglementation, qui ne profite pas seulement à la branche automobile, mais à toutes les PME de Suisse. »




 
vers le haut
Feld für switchen des Galerietyps
Bildergalerie

Ajouter un commentaire

4 + 0 =
Trouvez la solution de ce problème mathématique simple et saisissez le résultat. Par exemple, pour 1 + 3, saisissez 4.

Commentaires